VEF Blog

Au nom de la Déclaration Universelle des Droits de l'être, humains, voici à quoi serviront les observateurs de l'ONU


Contexte :

Les américains ont annoncé à la fin du précédent millénaire l'arrêt de leur programme de recherche spatiale. La navette Challenger avait une nouvelle fois explosé en plein vol. Le message du créateur universel était passé. Il ne restait plus qu'à envoyer les observateurs de l'ONU vérifier qu'aucun programme de recherche spatial public ou privé n’était en cours quelque part dans le monde; Il ne restait plus qu'à vérifier qu'aucun programme de recherche spatial n'était poursuivi.

Voilà à quoi les observateurs internationaux de l’ONU* seront également affectés à partir de l’année 2013 : la lutte contre la tentative de conquête spatiale.

Un programme de recherche spatial est une agglomération de connaissances sur la technologie spatiale glanées un peu partout dans le monde (en Russie, aux USA...) pendant des décennies, que possèdent à peu près tous les chercheurs du monde entier à un temps donné (que les experts définissent mieux le terme de "technologie spatiale »).

Ce programme terrien est mis à jours par différents systèmes : l'évolution technologique; l'espionnage; les programmes internationaux de recherche spatiale....

· (c’est le caractère étoile qui se transforme par sabotage internet , ce caractère que j’ai mais après ONU ) : ces observateurs sont toujours chargés de veiller au bon déroulement des scrutins électoraux.

Signé

Le secret-Terre chargé de la protection de la voie lactée, des lacs et des rivières.
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AGENDA

à partir du 3 novembre 2013, moi, Laurent Senninger, vais vous rencontrer. Je note donc tout de suite sur mon agenda les rendez-vous que je prend à travers ce blog :

- Je passerais aux Ambassade des États-Unis et de Chine (préparez-moi un téléphone portable avec le numéro d'Obama, de Kerry et des équivallents chinois, ainsi qu'une enveloppe de 350 euros ou un ordinateur portable avec une batterie de 6 heures minimum).

-Je passerais à l'Assemblée Nationale et demanderais à rencontrer un député socialiste. Cela peut-être n'importe quel député, et n'importe quel jour du mois de novembre et de décembre. Je me ferais annoncer à l'accueil : Laurent Senninger.

- Je tenterais de rencontre la patron du fournisseur d'accès à Internet Free : l'internet marche bien (pareil : je me ferais annoncer à l'accueil).

- Je passerais voir les journalistes de Radio France International. Ceci au mois de novembre et de décembre également.

Je passerais voir les journalistes de RTL. J'aime RTL pour son indépendance d'esprit, l'absence de formats, la créativité.....

Je passerais voir Radio Nova et Générations 88.2 : indépendance d'esprit, qualité des programmes, absence de formats....

Ce sera tout pour les mois de novembre et de décembre 2013

Pourquoi je vais à votre rencontre : c'est pour trouver des copains et des copines chez qui aller régulièrement.

Quelle que soient mes visites improvisées du mois de décembre, elles auront toujours lieu aux alentours de dix heures. Je me ferais annoncer à l'accueil en disant mon nom : Laurent Senninger.

Fait à Paris le 31 octobre 2013.

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Mardi 5 novembre octobre 2013

Je suis passé à l’ambassade de Chine 11, avenue Georges 5 vers onze heures. IL y avait des grilles autour de la porte de l’ambassade : impossible de sonner à la porte et parler dans l’interphone (il y a un interphone : je l’ai utilisé l’année dernière et un chinois m’a ouvert pour me demander ce que je voulais), mais cet interphone est inaccessible, à cause des grilles que empêchent d’approcher de la porte. Il y a une camionnette de CRS avec un CRS à l’intérieur de l’enceinte des grilles. Il a essayé de sonner à l’interphone après que je lui ai demandé. Je lui disait à haute voix – il était à dix mètres de moi près d’une route bruyante – de dire mon nom dans l’interphone. (« annoncez que je suis Laurent Senninger »). Mais personne ne lui a répondu. Alors que, l’année dernière, un chinois m’a ouvert après que j’eus pu m’approcher de la porte affranchie de grilles, cette année, personne n’a ouvert la porte au CRS serviable et sympathique.

Le CRS m’a donné deux adresses : le 117, avenue des Champs Elysées et le 18,20, avenue de Washington. J’irais donc à ces deux adresses et me ferait annoncer à l’accueil pour demander un rendez-vous avec l’ambassadeur de Chine à Paris dans les jours qui viennent (qu’on me prépare un ordinateur portable dôté de six heures d’autonomie en urgence et, si possible, d’un téléphone portable permettant de joindre directement des éminences chinoises. Idem pour l’ambassade des Etats-Unis).

Mercredi 6 novembre 2013

Je viens de passer à l’Ambassade des Etats-Unis, 4, avenue Gabriel. Il était environ dix heures. J’ai donné mon nom à l’entrée. J’ai dit que j’étais attendu. L’agent américain m’a répondu que non, je n’étais pas attendu. Il ne connaissait pas mon nom. Je lui dit alors que j’étais vraiment attendu et que je connaissais Barack Obama. L’agent (force guard) répondit sur un ton ironique qu’il connaissait lui aussi Barack Obama.

Je lui dit ensuite que je voulais demander l’asile politique aux Etats-Unis. Il me dit : vous n’êtes pas sur la liste (il avait une liste sous les yeux de gens qui ont, je pense, téléphoné pour prendre rendez-vous pour demander l’asile politique).

Je ne peux pas téléphoner, pour deux raisons précises :

- Dès que j’ai un téléphone et que je l’utilise, il est bloqué et inutilisable : les appels importants vers mon numéro de téléphone sont bloqués.

- Le réseau d’inconscience collective va, au téléphone, si j’appelle d’une cabine téléphonique, me bloquer. Il va d’abord me faire arriver sur le mauvais poste. On va me dire : « vous n’avez pas appelé le bon numéro ». Ensuite, ils vont me dire d’appeler un autre numéro. Je vais appeler l’autre numéro. On va alors me dire que c’est le bon numéro, mais qu’il faut que je rappelle l’après-midi, ou un autre jour (un après-midi ou, dans un état de grande fatigue, j’aurais besoin de faire une sieste et que, si j’appelle malgré mon immense fatigue, je vais être incapable d’aligner trois mot au téléphone pour exposer ma requête). Quand, par miracle, j’arrive à avoir la bonne personne au bon numéro (par exemple la personne chargé de donner des rendez-vous à l’ambassade des Etats-Unis pour demander l’asile politique), elle va me dire : « je vous rappellerais cet après-midi au téléphone parce que je n’ai pas mon agenda exceptionnellement ».

Le réseau d’inconscience collective peut me bloquer comme cela et par beaucoup d’autres moyens encore que je ne vais pas décliner. Par exemple, en bloquant mes courriers dans ma boite aux lettres en acier en bas de mon immeuble ( tous les courriers importants sont bloqués dans la boite aux lettre en acier en bas de mon immeuble). Je ne vous parle pas de mes boites E-mails : j’en ai dix et elles sont toutes bloquées.

Donc, je repasserais à l’ambassade des Etats-Unis 4 avenue Gabriel tous les trois jours environ avec mon passeport le matin vers dix heures en me faisant annoncer.

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Le 7 novembre 2013

La ville est un lieu de sabotage et de mensonge, occupé par le réseau d’inconscience collectif des hommes. Je le vérifie encore ce matin, au 117, avenue des Champs-Elysées ( c’est l’adresse que m’a donné le CRS en faction devant le 11, rue Georges 5, pour trouver l’ambassade de Chine. J’ai l’impression de me faire manipuler mes mots mêmes avec les trente hommes à l’étage au-dessus, les dix hommes à cet étage et les trente hommes en dessous, tous dans une sphère de cinquante mètres de diamètre, là, en ville, en pleine ville, dans la bibliothèque Port Royal. C’est la première impression en essayant de taper des mots sur le clavier avec des adresse, des doubles significations du sens de mes phrases induisant en erreur le lecteur. Disons que ce matin, ce 7 septembre matin, je voulais aller à l’ambassade de Chine et qu’on m’a donné une fausse adresse.

(tiens, une anecdote : trois asiatiques sont derrière mois depuis dix minutes que je suis dans cette bibliothèque de Port Royal alors je me dis : ce sont peut-être des chinois et je n’ai qu’à leur dire que je veux aller à l’ambassade de Chine ! Je leur adresse la parole et leur demande s’ils sont chinois. Ce que je fais. Ils me répondent que non, pas du tout. C’est un peu n’importe quoi ce jeu des images pour illustrer ma pensée, mais cela aura fait une petite conversation de cinq minutes en anglais). On m’a donné comme adresse le 117, avenue des Champs-Elysées. C’était une fausse adresse. Alors tant pis, j’ai perdu une partie de ma matinée. Un homme devant lève les bras en signe de victoire : il exprime le message suivant : il m’a fait perdre une partie de la matinée. C’est un signe de victoire superbe, magistrale : je retournerais demains à l‘ambassade de Chine, et lundi à l’ambassade des Etats Unis pour récupérer, dans l’urgence, un ordinateur portable et, surtout, un téléphone portable avec le numéro de téléphone d’un chinois éminent connaissant très bien les volontés politiques de la Chine puisqu’ils détermine cette volonté en étant par exemple membre du Pouvoir Central chinois, mais pas seulement membre du Pouvoir Central chinois : membre du Pouvoir Central chinois comprenant l’anglais et parlant un bon anglais, un anglais délicat et délicieux à entendre, comme le mien…. voire même un membre du pouvoir central chinois parlant le français, pas très bien, mais le comprenant parfaitement

Lundi donc, direction l’ambassade des Etats-Unis à 10 heures, dans l’urgence de récupérer un ordinateur portable, mais, surtout surtout surtout surtout, un téléphone portable dans lequel sont mémorisés les numéros de téléphone direct d’Obama et de Kerry (je comprends parfaitement leur américain) que j’appellerais une fois par semaine du bois pour de délicieuses et longues conversations.

Continuons sur le sujet initial de ce texte : je suis dans un bâtiment où l’inconscience collective trône et dirige la pensée des uns et des autres. Parlons de cette pensée inconscience de façon descriptive ( le registre descriptif affranchit l’orateur ou le narrateur du piège de tomber dans le mensonge et la manipulation et, à défaut de ne pouvoir penser, songer, écrire de la politique dans ce lieu à cent hommes dans une sphère de cinquante mètres, je vais me contenir à décrire ce réseau de pensée et ses capacités à manipuler les hommes avec son réseau pour leur faire faire n’importe quoi, dans l’intention de faire avancer la recherche spatiale et, en même temps, de ne pas la dénoncer.

Observation :

Jamais un écrit collectif d’homme ne s’est conclu sur la nécessité d’interdire la recherche spatiale et la colonisation de l’espace. Jamais. Vous pouvez chercher dans les rapport des réunions, adhérer à des partis politiques très écologistes comme j’avait adhéré aux Verts* de 1985à 2000, années de plein essor de la colonisation de l’espace, sans que ces écologistes prétendant défendre la nature ne parlent du problème de la conquête spatiale et de la colonisation de l’espace ; Vous pouvez écouter Radio Libertaire en France sur 89.4, la radio opposée à l’argent, vous ne trouverez pas de paroles pour dénoncer la colonisation de l’espace et la recherche spatiale, et pour cause : ces bons écologistes voulant protéger la nature se réunissent ensemble dans des salles sous le contrôle du réseau de pensée inconsciente des hommes, réseau de pensée inconsciente archi-domninant dans les villes du fait de la présence autour de chacun de ces écologistes de plusieurs dizaines d’hommes dans une sphère de cinquante mètres. Jamais. Vous pouvez le vérifier dans les documents officiels publiés par ces écologistes, documents officiels très complets et donnés à chaque nouvel adhérent ou rabattu dans les oreilles de chaque nouvel auditeur. On voit ici la parfaite corrélation entre le désir de détruire la vie dans l’univers des hommes dirigés par ce réseau d’inconscience collective, et cette promiscuité citadine bien maladroite et négligente de ces hommes et ces femmes prétendant vouloir défendre leur environnement.

*Je me suis fait avoir sur le mot Les Verts je crois, non ? alors un petit rappel descriptif des Verts : c’est un mouvement politique français crée par l’agronome René Dumont en 1972. René Dumont est un agriculteur qui veut faire de l’agriculture partout dans le monde pour changer la composition de l’atmosphère et faire disparaitre le genre humain. Il a publié beaucoup de livre, et s’est présenté aux élections présidentielles de 1972, l’année de la création du mouvement Les Verts.



Je reprends donc sur les manques de document complet parmi les documents distribués à chaque adhérent du mouvement Les Verts, par exemple. Les documents distribués sont appelés des « plaquettes ». Ces plaquettes sont au nombre de cinq, six, sept… définissant les quelques sujets fondamentaux de ligne politique du mouvement Les Verts, la plaquette la plus importante étant dédiée à l’agriculture, bien évidemment, qu’il faut développer partout dans le monde). Deux plaquettes fondamentales pourtant n’ont jamais été écrites par ce mouvement Les Verts que je connais très bien. Deux plaquettes qui pourtant auraient dû exister. Deux textes fondamentaux sur deux sujets différents, chaque textes distribué en reliure de cinq, six, sept, huit, neuf, dix pages, que les hommes et les femmes des Verts se réunissant dans des salles de villes n’ont jamais pensé à écrire :

-Le sujet du mal absolu que représente la colonisation de l’espace.

-Le sujet du mensonge quand on se réunit dans une salle en plein dans le réseau d’inconscience collectif des hommes.
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