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Titre du blog : paixsanspetrole
Auteur : senninger
Date de création : 09-01-2014
 
posté le 09-01-2014 à 17:10:14

le mensonge et la vérité

Hassan Rohanie, président de l’Iran, commence son discours dans la salle par ces mots :« louange au seigneur des deux mondes ; paix et bénédiction divine au grand messager ( c’est moi, Laurent Senninger) et aux Gens de la demeure ( vous, les copains et les copines de l’Assemblée) ».

A propos du problème des armes chimiques en Syrie, Hassan dit qu’« on ne peut pas cacher devant des expressions humaines » la vérité derrière la poésie : ‘armes chimiques en Syrie’. ‘Armes chimiques en Syrie’ veut dire :‘voitures et avions qui ne peuvent pas modifier la composition de l’atmosphère en oxygène dans la scierie’ (scierie, en français, est un lieu spécialisé dans la coupe du bois).

Il signifie que si nous nous réunissions dehors, au milieu des arbres, sous le ciel, nous, l’Assemblée, nous appellerions les choses par leur nom.

Un premier reproche donc : il fallait vous réunir ce mois de novembre dans un pays du sud ou il fasse assez doux pour passer la journée dehors (Sénégal, Ghana..) et pas en Pologne.

Vous aviez évoqué le Kenya au mois de septembre 2013. Pourquoi ne pas vous êtes mieux organisés pour vous réunir en ce mois de novembre au Kenya ?

Voici maintenant quelques remarques sur le mensonge :

Une phrase mensongère est caractérisée par plusieurs propositions articulées.

Voyez par exemple le mensonge suivant :

« Les voitures et les avions servent à consommer l’oxygène de l’atmosphère pour faire baisser ce pourcentage d’oxygène de façon brutale et se débarrasser du genre humains »*.

C’est un mensonge.

La vérité est :

« La voiture est un vice ».

Pour consommer l’oxygène de l’atmosphère pour faire baisser ce pourcentage d’oxygène de façon brutale et se débarrasser du genre humain, nous savons, à l’ONU, qu’il faut couper les forêts dans le monde (en construisant de grandes villes tel que Brasilia dans les immenses forêts du monde) et préserver la paix.

La vérité est :

« Il faut construire de grandes villes au milieu des forêts ».

On remarque que cette vérité, pour être appliquée, demande des efforts de vertu. Ce n’est pas la même chose que de se laisser aller en voiture par vice. Construire de grande ville au milieu des immenses forêts demande des efforts pour construire ces villes, encourager les hommes à y vivre……. C’est difficile. Telle est la vertu.

La vérité est aussi :

« Il faut maintenir la paix ». Maintenir la paix est une vertu. Cela demande des efforts, de la vigilance.

Il ne faut pas tomber dans le pièges de mensonges qui encouragent le vice pour se débarrasser du genre humain (le vice de rouler en voiture ; le vice de creuser des mines et de puits de pétroles…). La vérité est que seule la vertu permettra de se débarrasser du genre humain.

*vous remarquerez que l’oxygène n’a pas varié dans l’atmosphère ces trente dernières années. Il n’y a pas eu de plus grandes difficultés pour les randonneurs de haute-montagne, là où l’oxygène se fait plus rare, c’est-à-dire au-delà de cinq mille mètres d’altitude, de respirer ces trente dernières années en haute montagne du fait d’une disparition progressive de l’oxygène en altitude avec les trente années de voitures et d’avions, l’oxygène étant un gaz lourd qui se tasse au sol et se raréfie en altitude, comme vous le savez.


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Colère d'un jour du mois de septembre 2013


Le 20 octobre.

Colère.

J'écris sur un ordinateur dans la bibliothèque, tranquille, mon texte là pendant une heure. Deux ou trois bons textes pour protéger l'univers, l'univers immense, fait d'un millions de planète et protéger par un homme sur sept milliards dans son coin, moi tout seul sur l'ordinateur public. Je suis victime, de plus, de nombreux problèmes avec internet, comme je l'ai mentionné et mentionné depuis un an dans mes blogs, ce n'est pas une blague.... j'ai vraiment des problèmes avec internet. par exemple, là, j'ai fait contrôle a pour tout sélectionner le texte du fichier texte pour le transférer dans un blog et, pour la première fois, contrôle a n'a rien sélectionné. J'ai refait contrôle a, refait contrôle a, refait contrôle a...... une minutes après, la séance s'est coupée et j'ai perdu tous les texte écrits depuis une heure. Alors là, au lieu de reprendre les superbes textes écrits depuis une heures pour les parfaire, je raconte mes difficultés sur internet.

j'admire la réseau d'inconscience collective des hommes. C'est un réseau admirable. Je vois ses prouesses, ses performances, ses créations, ses actes de bravoures, guerriers à la conquête de l'univers sublimes, combatifs, imprévisible, surprenant. Chaque jour qui passe à la conquête de l'espace le montre frapper d'une manière différente, inventer un coup magistrale encore jamais porté, sans permettre de l'esquiver. Ce réseau d'inconscience collective est présent, lucide, ancré dans l'instant comme s'il était l'instant lui même, et partout dans l'espace de la planète Terre et de son orbite géostationnaire à la fois, l'espace, cet espace restreint et pourtant immense qui s'offre à lui. La moindre faiblesse de l'univers, la moindre laissé allé de l'univers, la moindre négligence de l'univers, lui aussi affranchit de l'espace et du temps, permet, dans l'instant, au réseau d'inconscience de l'homme, et particulièrement pendant les instants les plus important comme celui pendant lequel j'écrivais des textes fondamentaux pendant une heures, certain de pouvoir transférer ces textes fondamentaux sur le blog, C'est en ces instants que le réseau d'inconscience collectif des hommes est le plus combatif, le plus expressif, le plus étonnant : jamais encore "contrôle" ne m'avait empêché de sélectionné un texte pour le copier coller, jamais. Je pensais, comme les mille fois précédentes où j'ai fait "contrôle a", sélectionner mon texte, des fois précédentes moins importantes que cette fois ci, tragique pour l'univers peut(être, nous le seront dans quelques siècles, peut-être quelques décennies. Car cette fois ci, contrôle a n'a rien sélectionné du tout. Dix fois j'ai tenté de sectionner mon texte en appuyant sur contrôle a, en vain : je suis filmé, derrière, par une caméra de surveillance. Je suis en France, dans un pays gros consommateur de pétrole et fervent colonisateur de l'espace, chargé de vice et d'impétuosité; un peuple d'hommes et de femmes voulant porter sur des millions de planètes de l'univers le drapeau français bleu blanc rouge.

Avant d'envisager de se plier à des règles venues de l'univers, semble me conseiller un français de soixante ans venu s’asseoir en face de moi, il faudrait peut-être évaluer le niveau de l'univers,; ses capacités à se défendre d'une attaque colonisatrice venue d'une planète parmi les centaines de millions qui l'accompagne.

J'ai besoin de m'exprimer ici, d'autant que je suis tout contre un vieil homme dégageant une certaine souffrance, souffrance déteignant sur moi, forcément, et que je ne vais pas me laisser, moi, l'homme de quarante cinq ans, déprimer du mal être généré par le vieil hommes assis juste en face de moi et toussant très fort l'expression à des millions de lecteur d'un texte synthétiques, objectifs, lancés, combatifs, prêts à affronter n'importe quel adversaire pour une raison nouvelle et imprévue, surrégatoire à toutes les décisions semblant de bon sens préalables. Car la négligence de l'univers me laissant seul pour le défendre commence à étonner sérieusement les milliards d'hommes et de femmes me lisant, surpris de la facilité de leur réseau d’inconscience collective pour m' isoler, alors qu'une bonne centaine de millier voudraient, en toute conscience, m'aider sur internet !

Une dernière question : pourquoi moi, Laurent Senninger, suis-je français, né dans la France du général de Gaules. Il y a peut être un sens à cela.

(colère passée)