VEF Blog

Titre du blog : paixsanspetrole
Auteur : senninger
Date de création : 09-01-2014
 
posté le 21-01-2014 à 16:02:56

21 janvier 2014

Je joue, là, moi, laurent senninger, avec ma pensée et tape mon mot de passe en imaginant d'autiste que l'on va le lire avec une caméra et qu'on va me détruire mon blog après trois mille fois que je vais de cet endroit sur internet dans mon blog ma boite E-mail tout ça tout ça. Avec mon imaginatation je me fait peur qu'on voit quelqu'un taper mon mot de passe, et je vais raconter aujourd'hui cela, ce qui rythme ma vie à chaque fois que je vais sur un ordinateur, un écrit authentique, pour me connaitre mieux, moi, Laurent Senninger, savoir comment je passe mon temps.

En fait je suis deux chose à la fois, d'abord Laurent Sennigner et autiste. Autiste aime Laurent Senninger. Autiste lit dans sa pensée. Et tous les deux passent leur temps ensemble, au moins quatre vingt dix pour cent de leur temps ensemble. Autiste veut que Laurent Senninger imagine des trucs et ait peur en les imaginant. C'est le fondement même de leur relation. alors là le sujet c'est d'avoir peur que mon mot de passe soit repéré à moi ou plutôt à nous autiste et laurent, un jeu qui ne correspond à aucune réalité pusique jamais ce blog n'a été effacé après que j'ai tapé sous les yeux de la caméra huit mille fois le mot de passe de mon blog. Mais ce n'est pas grave ! la fondement de la relation est d'imaginer, d'imaginer à chaque occasion possible, et l'occasion de taper mon mot de passe est toujours bonne à prendre pour me faire imaginer que l'on relève ce mot de passe. Excusez moi d'être un peu lourd mais l'écrivain que je suis à pour principe de parler d'un seul sujet à la fois, et le sujet aujourd'hui, même s'il parait incongru, est le temps consacré par moi, Laurent Senninger, à imaginer tous les jours en me faisant peur, m'angoissant volontairement pour générer une souffrance psychique, un tourment, un doute, le doute de voir ici en l'occurence mon mot de passe relevé par un voisin espion ou une caméra de surveillance ici, dans l'exemple concret.

Ce qui est impressionnant est le temps que je passe, ou plutôt le temps que nous passons, nous, Laurent Senninger et l'autiste, à essayer de générer des souffrances psychiques dans le but de générer des souffrances psychiques, sans toutefois les générer effectivement, mais de façon systématique, comme un homme au cerveau etrange configuré d'une manière particulière qui lui fait utiliser son cerveau soixante dix neuf ou quatre vingt onze pour cent de son temps quotidien à essayer de générer des souffrances psychiques. Une souffrance qui ne fait jamais mal au cerveau, au pied, au doigts, à la peau pincée par exemple par un camarade ou tu dit "aïe, arrête, ça me fait mal !". Une souffrance qui ne détériore pas non plus le cerveau (le cerveau se détériore quand on ne lit pas de textes synhtétiques parlant du même sujet à la fois pendant deux cent pages même si le sujet est incongru : il faut savoir que l'absence de lecture provoque des ravages dans le cerveau au point de rendre les noms lecteurs idiots, insensibles, désensibilités, morts-vivants quand après une trentaine d'années ils ont émoussé leur sensibilité à force de ne pas faire le choix de souffrire psychiquement de faire l'effort de lire des livres exigeants.... oui, la souffrance pyshique de lire permet de me rétablir sur un sujet intéressant tout le monde de façon désintéressée à condition de faire des efforts et de ne pas se laisser aller à la mort, a l'état de mort-vivant, télévore toujours devant sa télévision qui a toujours préféré d'abord se laisser aller )à la facilité au lieu de produire des efforts. et d'un seul coup la souffrance psychique parait beaucoup plus sympathique. Elle devient le propre des vivants, des jeunes de quinze, trente, quarante cinq, soixante, soixante quinze et même quatre vingt dix ans, soucieux de saisir l'opportunité de pouvoir souffrir psychiquement pour lire des livres exigeants et, à partir de l'âge de trente ans, commencer à écrire simultanément - en même temps que l'écriture de texte, comme l'a rappelé sur la radio France Inter hier soir Daniel Pennac, célèbre écrivain français beaucoup plus fort que moi parce que capable de juguler la présence de son autiste en écrivant ou en lisant un texte, précisant qu'après l'émission il irait lire un superbe livre avant de s'endormir. Voila mon objectif : ne jamais laisser cet autiste attaquer mon cerveau en le rendant disponible comme je le faisais là devant un écran d'ordinateur en arrivant devant internet pour taper mon mot de passe, jamais. Voila belle lurette que je retourne une volée de mots et de phrases à l'autiste dès qu'ils tente de générer dela souffrance psychique pendant mes oisivetés devant ces appareils électriques à quinze ans, quinze A, avec amour de la littérature. Mais forcément, l'autiste est affranchit de l'espace et du temps et à la vie dure, toujours là pour essayer de générer ses souffrance psychiques, ses doutes et ses tourments jusqu'à dominer mes pensée à quinze-trente, avant de voir un smatch pour égaliser à trente amour de la littérature, sauvé de perdre un match de penis, ce qui ferait beaucoup de peine à ma douce Bérénice, là encore haletante et désirant me voir gagner, toujours présent sur les instants pour lui faire de beaux enfants qui deviendront plus tard comme je fus à partir de quinze ans une nouvelle page, un nouveau page, et vivre d'amour de la littérature et de cet autiste pendant les périodes désoeuvrées, de temps en temps. Voila donc en huit cent caractère tapé mon mot de passe j'espère unique à moi, Laurent Senninger.

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J'ai écouté les radios après la conférence de presse de François Hollande.

Je décide de supprimer le droits d'émettre d'RTL en France de façon définitive.

J'invite les radios qui le souhaite à soutenir la politique de François Hollande en diffusant les vidéos de la chaîne Laurent Senninger.